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  © 2005 Dorothée MARTIN DU MESNIL

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Le Pays d'Auge - 2014


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Dorothée Martin du Mesnil expose à Saint-Roch

Voilà deux ans que Dorothée Martin du Mesnil n'avait pas exposé seule. C'est fait ! Après les capsules, les soleils et rosenbulles, elle offre au regard des spectateurs ses dernières œuvres à la Chapelle Saint-Roch. Le spectateur peut y découvrir toute sa démarche sur la mer, de l'écume des vagues roulant sur la plage aux fonds marins peuplés de poissons. Elle utilise différentes techniques, joue parfaitement de l'harmonie des bleus profonds ou transparents et fait briller le sable de paillettes.
Ouest-France - 28 juin 2011

 


 

Dorothée Martin du Mesnil expose dessins et peintures

Dorothée Martin du Mesnil assouvit sa passion pour le dessin et la peinture depuis l'âge de quatre ans. Pendant vingt ans, elle tient commerce d'antiquités à Nonant-le-Pin sous l'enseigne «La dame aux ca mélias », puis revient à ses premières amours. Elle expose tous les deux ans. Pour la première fois, l'artiste a décidé d'exposer dans son atelierde «La cour chatte» à Villebadin. 150 personnes sont venues admirer ses œuvres lors du vernissage. L'exposition est intitulée «Capsules, soleils et rosenbulles... » «J'ai appelé cette exposition ainsi car mon père trouvait que mes rosés ressemblaient à des capsules, et une amie espagnole qui m'avait offert des renoncules les avait baptisées rosenbulles...», explique Dorothée. Les tableaux sont inspirés de la nature àla campagne, champignons, sous-bois, rosés... Plusieurs tableaux sont réalisés en déclinaison suivant les saisons. Le critique d'art André Ruellan reconnaît le brio, l'aisance et la remarquable technique du trait et de la composition de l'artiste. «J'emploie des techniques mixtes, avec plusieurs couches d'enduits, de glacis à l'huile et plein de matières différentes. J'ai fait une école de peinture en décoration où j'ai appris le glacis à l'ancienne. Je gratte et je fais plein de recherches de matières!», confie l'artiste, qui a plusieurs cordes à son arc puisqu'elle confectionne également des personnages en terre cuite. L'exposition dans l'atelier se termine le 16juillet, mais il sera toujours possible d'y passer, sur rendez-vous. Les œuvres seront aussi visibles à la galerie Jean Vigile, rue de Bretagne à Alençon.
Ouest-France - 14-15 juillet 2007

 


 

Capsules, soleils et rosenbulles... en campagne

Dorothée Martin du Mesnil laissait déjà transparaître un peu de son univers à travers ses tableaux.

Elle se dévoile un peu plus aujourd'hui en ouvrant, du 1er au 15 juillet (de 15 à 19 heures), et pour la première fois, les portes de son atelier et de sa maison, nichée dans la campagne de Villebadin. Une nature source d'inspiration. On se souvient de ses coquelicots et de ses champignons (que l'on a pu voir à l'Espace Xavier Rousseau, et dans un autre lieu de passage plus inattendus, le laboratoire d'analyses médicales d'Argentan), "Je n'avais pas exposé depuis deux ans. Je pense que c'est un bon délai pour préparer une nouvelle exposition. J'essaye de travailler sur un , thème à chaque fois. Je reviens souvent à la nature. Je vis au milieu. C'est quelque chose de très riche".

Cette fois, elle nous invite à découvrir ses "Capsules, soleil et rosenbulles... en campagne". Rosenbulle ? Ne cherchez pas la signification dans le dictionnaire. "Une copine espagnole m'avait offert des renoncules. Et avec l'accent, elle n'avait pas compris et les a appelés des rosenbulles. Comme je peins pas mal de rosés, j'ai gardé le nom. Pour les capsules, mon père m'a dit que certaines de mes fleurs ressemblaient à des capsules. J'ai fait des soleils aussi" (façon tournesols), quelques forêts embrumées l'hiver.

"À la base, je voulais décliner chaque tableau avec des saisons différentes. Il y a plusieurs diptyques ou de triptyques" mais qui peuvent se concevoir aussi indépendamment. Ceux qui la connaissent noteront une certaine évolution dans ses œuvres "Cela devient plus moderne. Plus radical. J'avais l'idée de revenir à l'essence des choses".

Sans s'éloigner de sa personnalité qui plaît à André Ruellan, critique d'Art, qui écrit d'elle, "J'adore ces artistes à la dualité passionnante, qui savent transmettre le beau avec naturel et éprouver auprès des amateurs leur personnalité novatrice, sans faire de chichi, ni prétention".

Dorothée peint sur toile "puis j'utilise des techniques mixtes. Plusieurs couches d'enduits, de glacis à l'huile, plein de matières différentes... J'ai fait une école de peinture en décoration où j'ai appris le glacis à l'ancienne.. Je gratte. Je fais plein de recherches de matière".

Pour cette exposition, qui se déroulera en partie sous des tentes, elle s'est également essayée à quelques petites compositions originales. Elle pense aussi à une autre échéance proche, son exposition en septembre à Alençon, à la galerie Jean-Vigile, rue de Bretagne.
Journal de l'Orne - Jeudi 28 juin 2007

 


 

Les champignons ont poussé à l’EXR

L’automne s’est installé prématurément à l’espace Xavier Rousseau, envahi de champignons peints par Dorothée Martin du Mesnil. L’artiste apprécie les thèmes tirés de la nature. « J’habite en pleine campagne, justifie-t-elle. Mon précédent travail portait sur l’été. J’ai donc eu envie de couleurs d’automne, voire d’hiver. De plus, les champignons inspirent des formes abstraites. Cela correspond à ma tendance de styliser de plus en plus. Mon trait se libère, j’aime trouver ma propre écriture de la nature. Et puis, c’est un thème très poétique les champignons ! »
Lundi 13 septembre 2004

 


 

Dorothée croque les nus

[…] Une première pour l’artiste qui concrétise là « de très nombreux stages de croquis de nu, depuis l’âge de 16 ans ».
Une manière pour elle de se libérer de l’académisme car les croquis, au feutre notamment, ne souffrent d’aucune erreur de jugement. Le trait se doit d’être précis dans la représentation d’un mouvement, d’une forme, d’une gestuelle.
La force de ces 37 œuvres est indéniables et offre pour Dorothée du Mesnil une véritable transition, « une nouvelle étape et approche » qui l’a libérée.
Ces croquis de femme, sont symboles de spontanéité et de très grande force. Les traits majeurs des femmes enceintes sont mis en avant, jusqu’à la caricature parfois.
L’artiste y a soigné également l’encadrement avec des entoilés, des inclusions pour apporter davantage de puissance à ces croquis.
Juin 2003

 


 

[…] Dorothée fait part de sa vision quasi « photographique » des paysages. C’est ainsi qu’après avoir proposé une approche davantage « macro-photographique », elle explore désormais les panoramiques.
Les vastes étendues ont pris la place après les détails les plus infimes. On retrouve tout de même ces plongées visuelles dans ses « synchromies » où elle peint des écorces d’arbres qui, dans cette approche singulière, deviennent alors de véritables paysages oniriques à part entière.
Dorothée a récemment décroché un premier prix au salon d’automne des indépendants de Caen avec l’un de ses paysages panoramiques.
Elle a entamé tout une série sur papier de verre qui offre une granulation spéciale… La photographie n’est pas encore bien loin !
Ouest-France 2000

 


 

« Forêts et synchromes »

Dorothée a toujours peint ! ou dessiné. De ses quatre ans, dont l’image reste la gamine en gants blancs que son frère amène à l’académie de dessin, à ses récentes activités de peintre en décors, elle n’a jamais cessé de s’intéresser à la peinture et de se perfectionner. Recalée à l’oral des Beaux-Arts, elle bifurque vers le dessin de style.
La volonté de vivre sa peinture ne la quitte pas. Encouragée par des rencontres, elle persévère. Influencée par les photos de mode, par son intérêt pour les antiquités et par ses voyages, elle peint des personnages stylisés au crâne nu, sur fonds de décors Art-déco ou d’inspiration bucolique.
Elle quitte Paris et le projet de réussir dans le stylisme, pour s’installer à la campagne, retrouver ses racines près du Haras-du-Pin.
Elle y approfondit son art et un « art de vivre »…dans la nature : source de création infinie et d’équilibre.
La forêt la passionne dans ses toiles et dans sa vie citoyenne (elle anime une association de sauvegarde de l’environnement) ; elle la montre de loin ou de très près, comme les écorces de ses synchromies. C’est ce travail récent qu’elle a choisi de dévoiler pour sa première exposition personnelle.
Septembre 1995

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